Obésité pourrait dépendre des micro organismes qui colonisent nos intestins

Les scientifiques estiment, entre autres, que les personnes qui ont dans leur intestin des micro organismes capables d’extraire efficacement l’énergie de la nourriture ont souvent un indice de masse corporelle (BMI) plus élevé. D’après les chercheurs, certains gènes des bactéries pourraient donc être utilisés comme marqueurs du risque d’obésité, une hypothèse qui est encore à l’étude actuellement.

Les habitants des intestins partagent l’humanité en trois groupes. Les Bactéroïdes, Prevotella et Ruminococcus, selon la bactérie dominante.

http://actualite.fr.be.msn.com/science/article.aspx?cp-documentid=157137618

Obésité Les recherches d’Eric Stice

révèlent que les personnes obèses pourraient compter moins de récepteurs de dopamine dans leur cerveau les conduisant à manger plus pour compenser ce déficit de plaisir.

http://www.france24.com/fr/20081016-lobesite-liee-a-une-reaction-insuffisante-centres-plaisir-cerveau

http://www.utexas.edu/cola/college_news/current/sticebrainsignalsstudy/

L’obésité n’est pas toujours synonyme de mauvaise santé

Les 3 grâces de RubensUne partie des personnes obèses ne présentent pas de risques de maladies cardiovasculaires. A l’inverse, des individus ayant un indice de masse corporelle dans la moyenne peuvent souffrir de problèmes métaboliques. C’est ce que démontrent deux études parues en août dans le journal Archives of internal medicine.

 

Illustration Les 3 Grâces de Rubens.

http://archinte.ama-assn.org/cgi/content/full/168/15/1617

http://sante-medecine.commentcamarche.net/actualites/l-obesite-n-est-pas-toujours-synonyme-de-mauvaise-sante-107540-actualite.php3